Météo à nouveau capricieuse aujourd’hui du côté de Tabarka, en Tunisie. Fort heureusement, cette fois, les Yverdonnois ont pu s’entraîner cet après-midi.

L’incertitude régnait en première partie de journée face aux rafales de ventes permanentes qui frappent la ville côtière de Tabarka. Car si le programme de la semaine prévoyait une séance de musculation ce matin, c’est un entraînement en herbe qui attendait les joueurs d’YS pour la deuxième partie de journée. Inimaginable quelques heures plus tôt à en regarder les vagues venir heurter le bord de mer, situé à quelques pas seulement des installations de l’hôtel. Pourtant, celui-ci s’est finalement tenu.

Les conditions n’y étaient pas parfaites ; la pluie, le vent, puis même la grêle ont fait leur apparition mais n’ont pas empêché la séance d’aller à son terme. Les hommes d’Alessandro Mangiarratti ont procédé à une opposition interne, onze contre onze, après des premiers exercices de conservation du ballon. De quoi se mettre en jambes avant les deux premiers matchs de préparation de l’année 2024 : ce mercredi face à la Mauritanie (14h30) puis vendredi face à Anderlecht (12h15).

On soumet les organismes à rude épreuve ces premiers jours, en terme de charge de travail. Il s’agit d’une partie extrêmement intense, mais aussi très importante pour la suite de la préparation. Ici, en Tunisie, nous avons la possibilité de maîtriser tous les facteurs de performance d’un joueur : les soins, la nutrition, la récupération. Les échanges entre les joueurs et chaque membre du staff sont en ce sens primordiaux.

Romain Tanniger, préparateur physique d’YS

À quand le retour des voiturettes ?

Une des petites spécialités de l’hôtel La Cigale est qu’il est doté d’un merveilleux terrain de golf. Le complexe est donc équipé de petites voiturettes, qui permettent, les jours de beaux, de se rendre en toute décontraction au centre d’entraînement, situé à deux kilomètres de l’hôtel. Jusqu’à présent, les Yverdonnois ont pu en disposer qu’à une reprise seulement – lorsque les conditions météorologiques le permettent, et quand les routes sont suffisamment éclairées par la lumière du jour. De quoi irriter Anthony Sauthier, particulièrement adepte de ce moyen de transport. « Quand est-ce qu’on prend les voiturettes ? », scande-t-il constamment au moment de prendre le chemin de l’entraînement. Le bus est pour le moment privilégié.

Les chansons du soir sont désormais devenues la norme après le souper. Cette fois, le premier à s’être lancé fut Niklas Gunnarsson. Sa performance a été nettement plus appréciée par l’auditorium que celle de ses coéquipiers Aimen Mahious et Haïthem Loucif, exceptionnellement en duo sur la chanson Aïcha de Khaled. Le Team Manager Juri Pucciarelli a terminé le bal par une envoutante reprise de Sarà perché ti amo.

À demain !

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